En ce 30 janvier 2024, nous étions 11 à SOMMIÈRES au départ de cette randonnée de 14,85 km et 160 m de dénivelé, sans difficulté physique. Sous un ciel bleu, nous partîmes, plein d’entrain, à travers les faubourgs de la ville pour rejoindre la voie verte "feue ligne de chemin de fer Sommières-Nîmes" jusqu’en 1985.
Pas de difficulté sur ce parcours, à part un petit accrochage avec un propriétaire acariâtre, à cheval sur les limites de sa propriété. Heureusement, la diplomatie de Jean DUBEAU et d'Annie son épouse, en arrondissant les angles de cette querelle, permit à la troupe de continuer son chemin vers JUNAS. C’est sur la place de ce village que nous avons déjeuné, à l’aise sur des bancs publics, à l’ombre de pauvres arbres déplumés pour l’hiver.
Durant la fin de la rando, nous sommes passés près du moulin de Corbière, ensemble hydraulique important. Il date du XVe siècle, et fut abandonné en 1880. Ce moulin était alimenté par un bassin de 150 m par 10 m, dans lequel se déversait un canal de 350 m de long. L’eau, dirigée par un canon sur une turbine horizontale à cuillères, entraînait les meules et terminait sa course dans le ruisseau en contrebas.
Nous remontâmes sur la voie verte pour terminer cette agréable promenade que notre photographe Jean DUBEAU saura illustrer avec talent.
À la fin de cette randonnée, nous fûmes quelques-uns à nous rendre à BOISSERON, chez Françoise et Bernard TOUSSAINT, pour une boisson réconfortante.
Jacques RELIGIEUX